VOTRE SITE INTERNET : RÉFÉRENCEMENT ET SÉCURITÉ
Whaouuuhhh, votre super site est en ligne, mais le travail en est-il pour autant terminé ?
La réponse est clairement NON !
Pictopagina a réalisé votre site internet avec le CMS (Content Management System) WordPress,
avec lequel sont réalisés environ 35% des sites internet dans le monde (au 19/09/2020).
Son travail est-il terminé ? Certes non !
Le vôtre, doit par contre commencer.
Il va aussi vous falloir mettre les mains dans le cambouis si vous voulez que votre site « cartonne » sur la toile.
A – Le site est réalisé sous WordPress
B – Le Référencement
C – La sécurisation de WordPress
D – La Sauvegarde de votre site
E – Contrôle et Maintenance
F – Contrat de maintenance
A – WordPress, kézako ? :
Comprendre facilement, à l’aide d’une analogie :
Afin que vous puissiez comprendre de quoi cet article va parler, on va effectuer une analogie.
Votre site WordPress, c’est un peu comme votre future maison d’architecte sur plans.
Avant que votre maison ne voie le jour, vous devez vous enquérir de trouver :
-
La commune où construire la maison de vos rêves
-
Un terrain adéquat
-
Un architecte
-
Un constructeur
-
Etc.
Nous allons nous intéresser à l’architecte et au constructeur, en l’occurrence ici : Pictopagina
Tout d’abord, les plans de votre future maison. Vous devrez :
-
Décider de quel type de maison il va s’agir : moderne, ancienne, etc.
-
Décider du nombre de pièces souhaitées.
-
Etc.
Eh bien, avec WordPress, on pourra comparer cette étape au choix du thème (template) WordPress.
Certes on peut trouver des thèmes gratuits, mais il hautement conseillé de choisir un thème payant, et dont les modifications sont fréquentes, et récente en ce qui concerne la dernière.
Les options supplémentaires à ajouter de suite :
Dès l’étape de la conception, vous choisirez peut-être d’ajouter des options ou de faire des choix qui semblent évidents à vos yeux.
-
Type de système de chauffage
-
Système d’alarme
-
Porte anti effraction
-
Vidéo surveillance
-
Système anti-incendie
-
Etc.
La personnalisation de votre maison :
Vous choisirez ensuite d’équiper votre maison à votre convenance, vos goûts :
-
La Cuisine équipée, avec ses équipements
-
Les revêtements de sol, de mur (peinture, papier peint)
-
La décoration (les bibelots, les photos de famille, avec Mamie et ses petits-enfants)
-
Le mobilier
-
Etc.
Bon, cette maison ne s’annonce pas mal du tout.
Revenons à WordPress
-
Les plans de la maison = Le thème (template WordPress)
-
Les options immédiates : Les extensions (plugins WordPress), la conformité juridique (Mentions légales, RGPD, etc.).
-
Les personnalisations = La vie de votre site internet WordPress
Pictopagina crée alors deux adresses mail :
-
Une adresse contact (votre adresse commerciale, celle de votre maison).
-
Une adresse Gmail, utile aux relations techniques, et surtout donc, utile à l’endroit de Pictopagina.
Votre site sous WordPress :
Donc, le choix de la maison, des options, etc., est fait, reste à la construire.
La particularité des CMS, est d’enregistrer les données d’un site web dans une base de données, cette base de données étant logée chez l’hébergeur du site.
Par exemple : o2Switch, OVH, etc.
Cette base de données s’enrichit, grossit, au fur et à mesure des modifications, des visites, il va donc falloir la protéger, la sauvegarder…
On verra cela en bas de cet article…
B – Le Référencement :
L’intérêt de faire un site internet :
Lorsque l’on veut se doter d’un site internet, ce n’est pas pour son simple satisfecit personnel, il faut qu’il soit connu, trouvé, par les internautes qui sont susceptibles d’être intéressés par le sujet dont on veut parler. On dit alors que l’on « référence le site ».
De nos jours, le moteur de recherche Google se prend 94% de parts de marché. Diantre !
Ne nous voilons pas la face, on va surtout s’attarder à lui plaire, les autres suivront…
En premier lieu, avec le compte Gmail créé, et via l’outil Google Search Console, on va annoncer à Google qu’un petit nouveau vient de naître. On dit alors que l’on indexe le site sur Google.
J’attire de suite votre attention sur le fait, qu’au vu des milliards de sites internet dans le monde, il ne faut pas confondre indexation avec référencement.
Le référencement de votre site, va prendre un certain temps comme disait Fernand Raynaud, en parlant du fut du canon ?
Il ne se fera pas tout seul, il va falloir travailler sur celui-ci.
On appelle le référencement naturel et gratuit, le SEO (Search Engine Optimization).
Contrairement aux idées reçues, le SEO ne se traille pas à la fin de la conception d’un site, mais à son tout début.
Lorsque l’on établit le plan du site (synopsis), tout comme pour le plan d’une maison (superficie, NB de pièces, etc.), il faut planifier les interactions des pièces et composantes au sein du tout qu’est la maison.
Si le site comporte plusieurs pages, on accédera à ces pages via le menu. Et après tout, le menu est composé de liens vers ces pages.
De fait, sur la première page, on va donc trouver des liens… ceux d’accès aux pages de notre site.
Google aime bien les liens.
Une page pour exemple :
Prenons une page qui pourra s’appeler « Votre Cuisine ». Sur la page d’accueil, le menu offre un lien vers cette page. Comment optimiser alors le SEO dès la conception du site ?
On résume : on a une page, et un lien qui y mène. OK !
Eh bien sur la page d’accueil, on va mettre un petit laïus causant des informations que l’on pourra trouver sur la page « Votre Cuisine ».
Puis, on va travailler cette page, pour l’optimiser et satisfaire les algorithmes de Google.
Remarque : Aussi intelligent que puisse paraître Google (AI = intelligence artificielle), ses algorithmes travaillent en étant aidés par les syntaxes des pages. Ainsi, si on lui demande de trouver « animal à quatre pattes qui broute et transporte les gens », et que l’on regarde les images que Google a trouvées, on verra peu de chevaux.
Il aurait fallu lui ajouter une occurrence précisant de quoi on veut parler.
Dans cet exemple, rajoutez « percheron » à la fin de la recherche, et appréciez les résultats.
Donc, Google a ses limites.
Continuons l’optimisation de la page « Votre Cuisine » :
Pour satisfaire aux exigences de Google, on va s’attarder sur trois points :
-
Le titre de la page
-
Le descriptif de la page
-
Les mots de requête que l’on souhaite attribuer à la recherche de cette page.
En fait, il faut commencer par la recherche des mots de requête (mots pertinents).
Ce peut être une suite de mots (mot de longue traîne), ou un seul mot.
Il est préférable d’indiquer des mots de longue traîne, ce qui vous démarquera des résultats de vos concurrents.
Donc, pour la page « Votre Cuisine », je vais choisir la recherche avec les mots de requête (de longue traîne) : cuisine spacieuse pour manger en famille Parce que le seul mot « cuisine » est par trop restrictif, et qu’en communication on privilégie le fait de personnaliser le propos (ma cuisine, ma famille, vos enfants, etc.).
Faites l’essai, vous verrez…
Aidez-vous de Yoast SEO :
Du coup, dans le champ « les mots de requête » de l’extension Yoast SEO, on va indiquer : cuisine spacieuse manger famille Google proposant ses services Addwords (service payant) pour faciliter les résultats dans le référencement, il vaut mieux ne pas trop le chatouiller avec trop de mots de requête, ce qu’il pourrait prendre pour une tentative de type : il veut me blouser celui-là, mais moi Google, on ne me la fait pas.
D’où, 3 ou 4 mots me semblent un bon compromis.
Puis le titre de la page devrait suivre cette philosophie : Cuisine spacieuse où il fait bon manger en famille –Société Trucmuche Nb : Il vaut mieux mettre les mots de requête en premier dans le titre.
Puis, pour le descriptif, on pourra avoir un truc du genre : Société trucmuche, basée à Tataouine depuis plus de 25 ans, spécialiste en installation de cuisines spacieuses où il fait bon manger en famille.
Remarque : on pourrait aussi jouer sur le fait que les cuisines proposées par la société Trucmuche ne sont pas chères. Ce qui donnera comme mots de requête : cuisine spacieuse et pas chère
J’ai volontairement mis cette longue traîne au singulier, Google se chargera de rajouter des « s », sinon cette requête aurait été invalidante si indiquée au pluriel dès le départ : cuisines spacieuses et pas chères Whaouuhhh, la nuance…
Et sur la page en elle-même alors ?
Très simple. Il faudra qu’un des premiers blocs de texte apparaissant sur la page parle de l’objet dont on vient de parler jusqu’ici.
Exemple de Titre : Trucmuche, spécialiste des cuisines spacieuses et pas chères, où il fait bon se retrouver pour manger en famille.
Ce titre devra (obligatoirement) « être frappé » de la balise H1.
C’est-à-dire, qu’on va indiquer à Google que c’est ce qu’il doit lire en premier.
On pourra baliser ensuite de H2 à H6 (une seule balise H1 par page), même si au-delà de H3, ce n’est plus très pertinent.
Viendra ensuite le texte qui devra reprendre tout cela.
Astuce : de 500 à 3000 mots par page, en répétant plusieurs fois les mots de requête…
Ce texte devra être rédigé avec un champ lexical riche. Comprendre des mots de liaison (mais, où, et, donc, or, ni car).
Mais non on ne devient pas sénile, c’est juste que si on répète les mots de requête plusieurs fois, ils vont se transformer en « mots nuage » de Google (qui remplacent les anciens mots clés).
On ajoutera des images, du visuel, à cette page. Mais attention, du visuel de qualité !
Aujourd’hui, les visuels jouent pour environ 65% dans l’intérêt de lecture des pages internet.
De plus, on veillera à indiquer sur chaque image (indication invisible), une description (texte alternatif pertinent) expliquant à Google de quoi on parle.
Google, qui rappelons-le est aveugle, mais pas bête.
Titre + descriptif + balise H1 + texte + images avec texte alternatif
Le tout, reprenant la technique démontrée, on devrait être pas trop mal là !WordPress, kézako ?
Je tiens ici à signaler que je n’ai pas tellement travaillé le SEO de Pictopagina (voir le titre, 10000 fois trop court).
Pourquoi ?
Tout simplement parce qu’en principe je suis en retraite et je n’ai donc pas envie de crouler sous les demandes.
Voici un exemple de résultat de recherche avec le mot « Pictopagina », dans Google Maps (et non Google simple).
Cliquez sur la photo pour l’agrandir >>>
Est-ce suffisant ? NON !
Ouch, pourquoi ?
Parce qu’il faut que le site « vive», que lorsque Google « repassera » sur votre site (au fil des mois passant), il s’aperçoive que celui-ci s’est enrichi, que son contenu a augmenté et gagné en pertinence.
Et, contrairement à ce qu’affirmait une célèbre firme hébergeant des sites internet, ça n’est pas parce que l’on est sur internet, que l’on peut être trouvé sur internet.. ohhhh non..
Comprendre comment ça se passe, ce qu’il se passe…
Pour ce faire, les statistiques de Google Analytics seront d’une aide précieuse.
On pourra voir comment les internautes sont arrivés sur cette page, quels sont les mots de requêtes qu’ils ont renseignés.
De fait, on pourra modifier au besoin le cas échéant : Titre, Descriptif, Requête, Contenu de la page
Nb : Les 3 piliers du SEO sont : Un bon titre + une bonne requête + un bonne description.
Et n’oubliez pas, Google (ou Bin) est aveugle, donc des noms de fichiers image suffisamment évocateurs pour que Google sache de quoi il retourne.
À vous de travailler maintenant !
Il existe d’autres façons de travailler à améliorer son référencement naturel (SEO) :
Depuis tout à l’heure, je parle d’outils Google : Compte Gmail, Search Console, Google Analytics…
On va continuer à utiliser les outils offerts par Google : Google Fiche d’Etablissement (pour Google Maps), Youtube.
Eh oui, il est presque question d’hédonisme ici… Google aime Google.
a) Youtube : Les contenus vidéo ont désormais une grande importance sur le net.
En ouvrant une chaîne Youtube (de Google), et en plaçant des liens de vos vidéos Youtube sur vos pages, cela améliorera le SEO.
b) Google Maps : Lorsque l’on cherche sur Google Maps, recherches multiples diverses et variées), on peut obtenir des résultats pertinents. Pourquoi, comment ?
Parce le propriétaire du site, ou le web architecte, a ouvert un compte Google Business, le renseignant pleinement (textes, photos, coordonnées GPS, horaires, etc.). Et hop, « Google content ! »
D’ailleurs, il sera bon de placer le lien d’accès au résultat de Google Maps, par exemple sur la page « Contact » de votre site.
En ce qui concerne Pictopagina, cela donne ceci : https://goo.gl/maps/Su6qtjTVgXjqc9ui7
L’astuce pour un bon SEO avec Google Maps est simple : demandez à vos clients (amis, famille) de mettre un avis (étoiles +++) sur votre page Google Maps (Google Business en fait).
Bien sûr, il ne faudra pas que trop de personnes mettent un avis en même temps, ce qui pourrait paraître louche aux yeux des internautes, mais en tous les cas, ce système permettra à Google d’apprécier les qualités de votre travail, de vos propositions, et vous remonterez dans « son estime ».
Il faudra user et abuser de la Fiche d’Etablissement Google. Ce qui vous donnera la création d’une fiche sur Google Maps. Première opération de communication à effectuer.
Tout d’abord parce que c’est un outil Google, mais si cette fiche est bien remplie (un pourcentage élevé), ce sera un plus pour votre SEO.
Ne pas oublier de garnir cette fiche de photos, et pourquoi pas, de vidéos 360°
Sur cette fiche, vous pouvez éditer des « Actus »… sorte d’avis, de publicité, par le propriétaire.
Attention, ces actus ne sont valables que 7 jours.
On aura également soin d’utiliser Google Site (https://support.google.com/sites/answer/6372878?hl=fr), et créer un (petit) site secondaire avec les outils Google.
Tout d’abord parce que c’est un outil Google, mais si cette fiche est bien remplie (un pourcentage élevé), ce sera un plus pour votre SEO.
Ne pas oublier de garnir cette fiche de photos, et pourquoi pas, de vidéos 360°
Sur cette fiche, vous pouvez éditer des « Actus »… sorte d’avis, de publicité, par le propriétaire.
Attention, ces actus ne sont valables que 7 jours.
On aura également soin d’utiliser Google Site (https://support.google.com/sites/answer/6372878?hl=fr), et créer un (petit) site secondaire avec les outils Google.
Conclusion :
Et si je vous disais qu’après tout cela – et encore, je ne vous ai présenté qu’une partie – rien ne garantit que vous serez en première position dans les résultats de recherche, tout au moins, peut-être pas dès les premiers mois de la mise en ligne de votre site.
Et si quelqu’un prétend pouvoir vous placer rapidement en tête des recherches (en Local = les 3 premiers résultats), fuyez à toutes jambes… même les p’tits gars de chez Google ne sauraient vous promettre cela.
Le référencement naturel gratuit (SEO, a contrario du payant SEA) est un travail de longue haleine, sur lequel il ne faut pas relâcher son attention.
Donc le SEO = oui, mais assurément le SEA (référencement payant par AddWords de Google par exemple) vous assurera une meilleure visibilité. Le hic étant le coût de telles campagne AddWords.
Alors je parle toujours de Google, parce qu’il est prépondérant sur le Net (94% des recherches), mais il en va de même avec Bing (de Microsoft) qui propose aussi des outils d’indexation.
Bien entendu, il sera plus facile d’être bien positionné s’il y a peu de concurrence dans votre secteur (d’activité et localisation).
Et si des milliers de sites proposent la même chose que vous, eh bien… Ce n’est pas gagné…
La rédaction d’articles sur WordPress, avec des mots recherchés par les internautes est aussi un excellent moyen d’ajouter une pierre à l’édifice de votre SEO.
De nos jours, on peut même demander à l’intelligence artificielle, d’optimiser du contenu pour être prégnant en matière de SEO.
Résumé (très résumé) :
– Un bon SEO dans votre site internet bien rédigé (qualité du contenu)
– Un fiche établissement Google à jour et bien complétée.
– Un « mini-site » Google Site, reprenant votre contenu légèrement modifié
– Des actus sur la fiche établissement Google (valables 7 jours)
– Des articles, identiques au besoin aux actus de la fiche d’établissement.
– Une Newsletter bien organisée, en ayant soin d’être conforme au RGPD pour ce faire.
La fréquence de ce travail ?
Le minimum syndical serait de voir tout cela au moins une fois par mois.
– Un bon SEO dans votre site internet bien rédigé (qualité du contenu)
– Un fiche établissement Google à jour et bien complétée.
– Un « mini-site » Google Site, reprenant votre contenu légèrement modifié
– Des actus sur la fiche établissement Google (valables 7 jours)
– Des articles, identiques au besoin aux actus de la fiche d’établissement.
– Une Newsletter bien organisée, en ayant soin d’être conforme au RGPD pour ce faire.
La fréquence de ce travail ?
Le minimum syndical serait de voir tout cela au moins une fois par mois.
Mais ne désespérez pas, tout ce travail portera ses fruits.
Le résultat est entre vos mains, il ne dépend que de vous d’avoir le courage de faire.
nota ; Bien évidemment, Pictopagina propose tout cela sur les sites internet de ses clients.
Je ne vous cacherai pas que ce travail exige de réelles compétences de professionnels.
C – La sécurisation de WordPress :
Parmi les « options immédiates », Pictopagina s’assure de protéger votre site le plus efficacement possible, car si WordPress représente 35% de parts de marché, de fait, il attire les convoitises, les jaloux : les pirates.
Tout d’abord, Pictopagina cache l’adresse de l’administration du site. Par exemple, si l’utilisateur du site est (était) souvent « admin », Pictopagina crée un autre utilisateur, mais surtout, modifie l’accès à celui-ci.
De base, cet accès est : wp-admin
Trop facile, trop dangereux surtout…
Pictopagina brouille les pistes, créant un autre chemin d’accès, ainsi, le pirate se cassera les dents avant d’entrer.
Puis, si tout comme la chauve-souris de Bigard le pirate trouve le chemin (quasi impossible), Pictopagina place une porte antieffraction contre les attaques en force (brut force attack).
Car les pirates peuvent tenter d’entrer à distance, avec des logiciels robots (bots), qui composent des milliers et des milliers de combinaison de mot de passe de votre système d’alarme, jusqu’à trouver la bonne…
Avec cette protection, au bout de 4 tentatives infructueuses, le bot devra attendre 20mn avant de recommencer ses manœuvres… C’est certain, il va s’en aller voir ailleurs, trop de boulot pour lui.
N. B. Surtout, ne pas mettre de mots de passe faciles, composés de mots « du dictionnaire », par exemple : monbeausiteamoiquejai
Mais plutôt : N<q9a82@<cv35fghrq
Pour info, le RGPD réclame au moins des mots de passe de 12 caractères.
Pictopagina place également « une caméra de surveillance », qui permettra d’être alerté de toutes les tentatives d’effraction. Le principe étant de voir que toutes ces tentatives ont échoué, et de voir d’où elles venaient (pays).
Cette surveillance enverra des rapports qui comprendront les tentatives d’intrusion (échouées), les mises à jour des thèmes et extensions qu’il faut absolument faire le plus rapidement possible.
Ces protections constituent donc des pare-feu, que les pirates auront bien du mal à franchir.
D’ailleurs à ce propos, les sites mal sécurisés servent de « tremplin » à la mise en place d’escroquerie par phishing. Il est alors créé un dossier « dormant » par le pirate, dans lequel il met un lien vers la page du phishing avec un paiement à la clé par CB.
Il est donc utile de vérifier de temps à autre, si un « squatter » ne dort pas dans votre jardin (dossier non créé par vous au premier niveau du site, comprenant l’arnaque).
D – La sauvegarde de votre site :
WordPress utilise donc une base de données pour stocker les informations de votre merveille.
Oui, mais, cette base se modifie au fil du temps, et de plus, elle n’est pas logée chez vous.
Il faut donc effectuer des sauvegardes régulières, car sinon, si votre site vient à « chuter », vous n’aurez que vos yeux pour pleurer la disparition de votre précieux.
N. B. J’ai d’ailleurs eu un nouveau client en début février 2020, qui m’a contacté pour ce motif.
Oui mais ce n’est valable que si on effectue au moins 2 sauvegardes automatiques par semaine. Nb : sauvegarde du contenu et de la base de données.
Pour ce faire, il faut une extension spécialisée « Duplicator Pro », dont la licence annuelle est facturée 59$ /1an.
E – Contrôles et Maintenance :
Je ne le dirais jamais assez, le contrôle, la maintenance d’un site C’EST TOUS LES JOURS.
Vérifier s’il ne faut pas mettre à jour des thèmes, des extensions, gérer des spams, des attaques, etc.
Seul et unique moyen de ne pas voir son site attaqué parce qu’un petit malin aura profité d’une faille (et cette année 2020, ça a été le festival).
F – Contrat de Contrôles et Maintenance :
Pictopagina offre le contrôle et la maintenance des sites qu’il réalise, durant la première année après mise en ligne du site.
Ensuite, pour continuer à bénéficier de ce service, il est possible de souscrire à un contrat pour la modique somme de 120€ TTC/an.
Tarif modique au regard des services rendus, car ce contrat comprend :
-
L’équivalent de la licence du logiciel de sauvegarde « Duplicator », d’une valeur de 59$ par an. Ce qui avec les taxes nous donne à peu près 63€ TTC/an.
-
L’équivalent de la licence du logiciel de contrôle global.
-
Les appels téléphoniques de détresse.
-
Etc
Je reste à votre dispo si besoin particulier… A+